Proposées par la La Fédération de l’Habitat Réversible et organisées localement par ATIHRE.
Samedi 28 septembre
15h-17h : visite chantier Habitat Jeunes, maison réversible en bois
Sur inscription, à Saint-Quay-Perros
19h : Soirée asso : partages, ressources et convivialité !
Au Pixie à Lannion. Entrée libre, ouvert à tou.te.s. Bar + galettes et crêpes sur place !
Dimanche 29 septembre
11h ou 14h30 : portes ouvertes de Tiny House
Sur inscription, à Saint-Quay-Perros
12h30 : auberge espagnole
Sur inscription, à Saint-Quay-Perros
Chacun.e amène quelque chose à manger ou à boire !
Stands présents sur place :
– Présentation de l’association ATIHRE
– Assainissement par Filtre à Broyât de Bois (FBB)
– Autonomie électrique
– Conception et charpente
– Architecture
– Urbanisme
Pourquoi ces journées ?
L’habitat réversible, léger et mobile, prend une place qui ne cesse de croître dans le paysage français depuis quelques années.
Ce mode d’habiter n’est pas nouveau mais les installations se multiplient : yourtes, tiny house, cabanes de toutes sortes, caravanes, roulottes et camions aménagés, dômes, kerterres etc…
Sa pertinence sociale et écologique place ces alternatives au cœur d’un changement de paradigme dont la société civile a grand besoin : vivre sans loyer, sans emprunt ou si peu, habiter proche de la nature dans un logement économe en énergie, tel est le rêve accessible qui gagne du terrain, dans les imaginaires aussi bien que dans la réalité, et sur les territoires.
Une diversité d’acteurs sont impliqués dans ce mouvement, des usagers biens sûrs et aspirants usagers, des fabricants, et des militants associatifs mais aussi des élus volontaires.
Dans le but de les réunir, une première rencontre lançait la fédération de l’habitat réversible à Erquy en Bretagne en août 2019. Année après année, cette dynamique s’est nourrie et renforcée. Tout comme la crise du COVID, le changement climatique renforce dans l’opinion publique la conviction qu’un autre modèle d’habitat est nécessaire.
La Fédération de l’Habitat Réversible entend rassembler afin de faire avancer la reconnaissance de l’habitat réversible, léger et mobile.
Sensibiliser l’opinion, donner à voir, obtenir des données scientifiques, sociologiques pour soutenir notre travail, travailler avec les élus pour faire évoluer la loi, tenir une veille juridique, entretenir une base de données, créer des espaces de rencontres, accompagner les communes qui accueillent, tels sont les différents projets à mener.
Le moment est venu de structurer ce mouvement, de formaliser les propositions et d’assumer ce que représente l’habitat réversible, léger et mobile : un changement profond dans la culture de l’habitat, un vrai levier pour faire évoluer les choses dans le sens d’une plus grande liberté d’habiter, de plus d’écologie, d’une réappropriation du besoin fondamental d’abri.